Un air défait
Qui couvre
Le visage
Paraissant
Superbe
Sans courroux
Et qui repousse
Sans combat
Sans encombre
Le deuil et
Les tourments
On fait de nos peines
Des feux éparpillés
De si brûlants
Charniers
Qui veulent
En finir avec
Le corps
Un langage défait
Que l'on voudrait
Réduire à ce trait
Qui dépasserait
Le tombeau
D'un récit