Si fortement respirer
Bercé par la
défaite
Que l'on écrit
Chaque jour
Qui passe
Le silence
D'une estampe
Tout ce qui
Nous tient debout
Je regarde tes
Sobres oppositions
L’harmonie figée
Dans tes yeux
J’écoute tes pensées
Comme des ciels
Remplis de nuées
Je repense
Sans remords
À ma chair écorchée
À ma guerre chronique
Et je regarde à nouveau
Ta liberté convulsive