Y a cette idée
De la mort
Qui vient à
L'esprit
La nuit souvent
Plus vaste que
L'effondrement
Une chambre plus
Obscure encore
Sans ouverture
Véritable
Débordant
De signes
Et de craintes
Y a les plis
De l’étoffe
Ta chevelure posée
Les veines qui
Courent sur ta main
Les sensations
Désordonnées
Qui s’apaisent
Sur une courbe pure