Le soir descend
L’obscurité enlace
Ton corps
Il se consume
Sans se plaindre
Et semble danser
Doucement
Errant dans sa nuit
Comme dans une
Vie nouvelle
Le temps tremble
A peine dans la
Solitude sa demeure
Nocturne
Des gestes jamais
Banals perdus
Peut-être dans
Une mer houleuse
De souvenirs froids
Ce qui reste
Du rêve