Son âme est
Veuve
D’une éternelle
Caresse
De cette joie
En hécatombe
D’une saveur
Déjà connue
La voilà revenue
Ses lèvres en calice
La colère lascive
Encore sans tâche
Sous le rayon pâle
D’un matin tremblant
Qui finira par
Mourir jusqu’au
Lendemain