On a tous entendu
Une voix le pardon
Des péchés
Toutes ces prisons
Ces vies qui dévissent
Qui passent en cachette
Et ne méritent ni
La mort ni ce temps
Retiré
La plupart au
Vent léger
Se lèvent et
Côtoient de près
Ce qui déchaîne
Arrivent péniblement
A ce lieu nommé Syrte
Enfin ce qu'il
En reste à l'image
De nos décors intérieurs
Nous tombâmes
Tous par terre
Ainsi
Après avoir traversé
Périls et dommages