Pour autant aux
confins de ces mondes
perdus - aux baisers
de l'aurore - la
plastique idéale comme
l'âme dans le corps
se retrouvent en toi -
la souffrance en dedans
toujours refoulée - c'est
l'heure silencieuse qui
séduit un temps
puis cette approche
s'évade - au profit
de ces rues
parcourues d'arbres
dépouillés - beaux rivages
illuminés - dissolutions
lumineuses