Toutes les pensées
Envahies par le
Brouillard du sort
Des pans entiers
De solitudes
Arrachées
Que l’on jette
Comme des pierres
Et l’on
Regarde éperdus
Les grands cercles
Que cela fait dans
Nos cieux
Des lieux
Inaccessibles
Des lieux que l’on
Juge inconsolables
Autant le dire
Des lieux qui
Meurent
A nous qui ne
Vivons pour que
Ces nuits
Entières