Ces Fantômes que
Nous croyons
Et qui paraissent
Radieux
Sont des êtres bénis
Parfois le parfum
Coupable de notre
Présence
Des fantômes se
Couchant comme
Envoyés dans
L’ivresse et qui
Effleurent à peine
La clarté sereine
De tes doigts
Puis ils partent
Dans nos ombres