Et sur l’apaisement
De nos doutes
Cette grande horreur
De ce qui passe
Cette existence
Qui souffle en
Tempête puis
Qui s’écroule
Au bord de nos
Maux
Cette existence
Muraille ou
Précipice
Reste plantée
Toujours au
Cœur de nos
Terres opposées
Puis mélangées
On ne peut
S’éloigner
De son sol
Irrégulier