A découper l’angoise
qui nous étreint
sur le chemin du
retour quand le
vide commence
à se faire sentir
pour toute réponse
et pour toute
réponse on
entend juste
les feuilles qui
commencent
à s’ébrouer
des pensées
encombrantes
viennent forcément
le remplir ce vide
et l’on regarde
toute la scène
derrière la fenêtre
en se persuadant
d’y trouver des
secrets sous
des arcades
invisibles