Et Le sacre
En d’autres
Endroits
Devenus presque
Fantômes
Pleins seulement
D’ombres ensevelies
Leur solitude si
Vénérable
Ce brouillard
Chimique et
Tous les
Éblouissements
Comme autant
De signes
De soifs inassouvies
Celles de ma fuite
Lorsque la poussière
De cendre les cieux
Noirs de mon
Origine
Furent dispersées
Dépassant l’obscurité
Profonde
Me voilà
Regardant bien
Droit dans les yeux
Le mal trébuchant