Aux subtiles lumières
qui répondent à la
faible humanité –
nos trajectoires
éclairées – la vie
la mort comme
séparées par ce
monde extérieur
que l’on dit
inséparable de
nos destins –
j’en viens à me dire
que les résonances
d’un corps – le tien –
les paroles mêlées
et les pensées prochaines
sont un cœur – le seul
peut-être qui mérite
de battre –