Se répandra pareilles à
ces lueurs, au parler
tellement sombre,
qu’il en devient
l’épilogue de quelque
chose…D’un visage
endormi, le tien que je
regarde. D’une main sur
la mienne au plus
fin du jour. Le
passage étroit où
l’on pressent l’impen-
sable, où l’on tente de
croire que l’heure à
venir sera plus douce.
Qu’elle ne sera pas
la compagne endurcie
de mes peurs. Inanimée,
alors que le mouvement
de la ville me tient debout.
Ce décor, c’est ton visage
au réveil, ces lèvres
que tu poses sur mon
front. Pour en chasser
les sombres. Ce repère
des périls, qui me glace
et m’écrase sous le
poids de sa conduite.
Alors que tu es une
fine pluie de soie.