Sans paysage,
bien ancrée dans
la face...Des espaces
improbables dégagés
entre deux plaintes
lancinantes. Comme
atteindre sur le fil
l’apaisement, l’
impression fugitive
d’un mieux, détruit
par cet emprunt
difficile, ce visage de
l’échange, de la souffrance
en fait, de cette somme
insensée de rumeurs,
d’heures prolongées
jusqu’à l’insupportable...
Disloquées, dispersées
en éclats lointains.
Sans paysage bien
défini. A part le
vide que l’on recherche,
cet état différent...
Alors que je sens
venir le coup
qui va m’abattre
je sais aussi que
je m’en relèverai