Où la réalité se résout
sous l’ombrage
plutôt qu’en présence
écorchée par la course
de toutes parts des
fureurs – ton eau
opaline qui m’a rendu
les battements – les
tournures mauvaises
avant de suffoquer puis
de revenir – vaincu
d’avance et donc
pour ainsi dire
libéré – comme
nettoyé des bruits
inutiles – à ne
voir que le temps
et l’espace – et l’
intime impulsion –
tout autour même
si les mots fanés
semblent envahir
ils ne sont rien –
ils ne disent rien
de ce qui est -