L’application d’une
vie – que l’on puisse
en saisir la valeur
en apprenant et la
joie et la douleur –
la peur plus grande
à mesure que l’
impétueuse déroule
ses longs couloirs –
ses défaillances et
renaissances – je
respire à pleins
poumons ta peau
suave – ta nudité
cinglante qui
rayonne et happe –
l’affolement du
dehors – ce calme
récitant – apanage
de tous les âges –
l’on pleure les morts
et ceux qui vont
mourir – désolation
et sans pouvoir – alors
que l’on arrache aussi
des vérités et le désir
à peine un froissement
de drap – et le dessein
de la mort s’échappe –