Ne disons rien
Ne remettons rien
Aux heures indues
Aux heures de brume
Agile et froide
Comme pluie sur
Ton âme que tu
Essuies les yeux
Brillants de ce
Goût d’une feuille
Dans les rapides
Leurs bruits purs
Déchirant l’air
Et toutes les
Absences et tous
Les leurres surmontés
Pour s’ancrer
Dans ta personne
Verger avenues
Te placer dans
Une main
Celle qui veille
Sans serrer celle
Qui intrépide
S’immisce
Mais ne blesse
Pas. Sans reproche
S’enlace.