Alourdi de naufrages,
sur tes lèvres le cortège
des jours se désintègre.
sur tes lèvres le cortège
des jours se désintègre.
Ma vie consciente posée
là, et qui s’abandonne.
Je la laisse s’évanouir et
me rendre à ma chair,
Mais qui s’étonne
encore de ressentir.