Comme tout
semble instable,
il faudra bien un
jour que je cours
sans bouger.
Comme justement
tu semblais être.
Il faudra bien te
perdre dans ce
paysage erratique.
Et réparer ce qui
restera en première
ligne, pris par la
bière ou autre
chose.
Ce chemin qui part
de là, entre des couches
d’immeubles bien
épaisses, il vaudrait
mieux le regarder une
bonne fois pour toute.
Te regarder ad vitam
aeternam, si tu me
le permets. Tes abords
affolés, tes peines
contenues. L’histoire
de tous ces présents,
détachée d’un sombre...
Alors que tu ne montres
qu’un ciel nu.