Ce n’est pas l’affection
qui capitule...Cette chose
que l’on transmet à son
corps défendant. Que l’
on essaie de rendre...Et
tout ce mal devant lequel
je me résous. Paumes
levées vers le, dans
ce geste ridicule, qui
ne peut rien à ces jours
plombés, noyés de
spasmes et de coups
martelés. Ne pas
revêtir
une aube...Voilà qu’
émerge un répit. Ce
n’est pas l’affection qui
capitule, elle se tient
là, c’est tout.
Comme
un tremblement qui
s’apprête à percuter,
comme une onde
voyage dans ces fils.
Au détriment de mes
heures ponctuées d’
échappées douloureuses.