L’instrument de la
guérison...Cette chose
qui m’a frôlé, tombée
d’un jour de sable,
en segments et nuages
détachés. Des cadres
vides étincellent,
visages qui deviennent
des pays privés d’adresses
et de plans. Des voies indé-
chiffrables, traces in-
calculables. Et j’en passe.
Comme ces murs s’opposent
au déversement d’une
autre
histoire, bien enfouie.
Inhibée puis miroir
déformant dans un
bar,
un ailleurs tenant à la
main l’objet de sa
libération...Ou déluge
que j’évite le
plus souvent. Pour
une ombre, si commune
à mes gestes.