Face aux dérives,
aux échappées si
lourdes d’éclats
et de peurs. Devant
ces portes, horaires
incrustés, attente
dans la lumière
étrange d’une
impression border-
line. Sur
laquelle
se greffent tant d’
exquis résultats ou
de vraies saloperies.
Sur laquelle viennent
mourir tant d’icônes,
saintes ou perverses. Finale-
ment les mêmes images,
pour un même désastre.
De croire ainsi la
douleur, d’en faire
des heures confuses,
on ne l’écoute plus.
Elle s’égare, et nous
avec. Dans l’attente
sempiternelle et
fatale...Face aux
dérives.