La façon de
voir s’envoler
l’odeur de sa
vie. Flotter légère
la salope, pour
qu’on la regrette.
Se pendre lascive
et, face cachée,
s’enfuir. Des
fêlures plein la
tête. Et sur place
laisser le souffle
coupé, le corps
en bouillie puis
en chaînes.
Comme elle est
absente désormais.
A ne meubler que
les malaises par
des nuages évidents.
Aux couleurs de ces
boîtes. Sur un ciel
même pas sombre,
juste amnésique.
Le temps exacte-
ment de changer
de lumière. Et depasser ton visage
pour un automne
artificiel.