Bloody One’s Hands
D’énormes foulures -
Mon précieux territoire
Doré sur tranche...Son
Odeur inquiète - incertaine
Puis résolue - les mains
Dans la ruine et les roulures...
Que réserves-tu ? Lâche le
Morceau tu veux - que l’on
Puisse...Tout est devenu si
Désopilant et plein d’armes
D’énormes traces de
Conversions - odeur de mer
Et d’essence - juste flâner...
Ca suffit pour sentir le
Vent tourner - devenir
Mordant - me dis que j’ai
Encore plus mal que c’est
Rien que ça passera jamais
Ha ! Ha ! Comme dopé par
La douleur - une épine
Miraculeuse un foutu
Purgatoire un peu d’
Epreuve dans la bouche...
Voilà...C’est cool...Cette rue
Est un calice...Etroite et
Haute...Mon père si ce
Calice ne peut passer...
Non - à la seule pensée
De ce qui se profile...Plus
Dur agressif...Les mains
Dans le sang - des gens...
Foule précipitée qui
Se dévore - putain
De merde...Dire que
C’est encore calme que
Je contrôle - roule ma poule...
Que les arbres se couvrent
Pour l’été qu’ils déposent
De la nature au milieu du
Béton coloré...Sans que je
Le boive - que ta volonté...
Se perde dans les rapides
Urbains -