mardi 5 mai 2009

Bloody One’s Hands

D’énormes foulures -

Mon précieux territoire

Doré sur tranche...Son

Odeur inquiète - incertaine

Puis résolue - les mains

Dans la ruine et les roulures...

Que réserves-tu ? Lâche le

Morceau tu veux - que l’on

Puisse...Tout est devenu si

Désopilant et plein d’armes

D’énormes traces de

Conversions - odeur de mer

Et d’essence - juste flâner...

Ca suffit pour sentir le

Vent tourner - devenir

Mordant - me dis que j’ai

Encore plus mal que c’est

Rien que ça passera jamais

Ha ! Ha ! Comme dopé par

La douleur - une épine

Miraculeuse un foutu

Purgatoire un peu d’

Epreuve dans la bouche...

Voilà...C’est cool...Cette rue

Est un calice...Etroite et

Haute...Mon père si ce

Calice ne peut passer...

Non - à la seule pensée

De ce qui se profile...Plus

Dur agressif...Les mains

Dans le sang - des gens...

Foule précipitée qui

Se dévore - putain

De merde...Dire que

C’est encore calme que

Je contrôle - roule ma poule...

Que les arbres se couvrent

Pour l’été qu’ils déposent

De la nature au milieu du

Béton coloré...Sans que je

Le boive - que ta volonté...

Se perde dans les rapides

Urbains -