mercredi 14 janvier 2009

Anonymous


A la limite des massifs -


Refuges pour les chats


Mais pas seulement - sûr


Que ça existe peut pas


L’ignorer - un jour un de


Ces types s’est couché


Dans les étages - il


Sentait mauvais la


Vache quelle puanteur -


Ca fait réfléchir y a pas


D’hésitation - demain si


Moi...sûr ça fait peur


On dit qu’il habitait


Dans le coin - un coup


Du sort la picole...les


Massifs y voient que du


Feu - un feu des ténèbres


Répète après moi :


Clandé claque bouge


Tapage taudis bastringue


Clandé claque...


C’est bien - sur la bonne


Voie et résonne des peurs


Comme un diapason


Les murs tremblent les


Organes souffrent les


Yeux se brûlent - et


Cherchent une étoffe


Parfumée - un peu de


Beauté et de douceur


Merde ! Des choses à


Faire de la nuit urbaine -


Fascinante de ses raclures


Comme des colères des


Absences du déchirement


C’est pas la pitié - encore


Heureux - l’a peut-être tué


Quelqu’un la puanteur


Qui peut savoir ? Peut-être


Qu’il a tué personne ou


Qu’on l’a tué - on a vu ça


C’est pas rare - les gens


Sont des enragés pour


Survivre sont prêts à tout


A tout - même à pousser


Un voisin un collègue


N’importe quoi n’importe


Qui pour échapper à l’


Infâme - ce doux milieu


Sans bruit - on est jamais


Le dernier à monter la


Garde - silence