Anonymous
A la limite des massifs -
Refuges pour les chats
Mais pas seulement - sûr
Que ça existe peut pas
L’ignorer - un jour un de
Ces types s’est couché
Dans les étages - il
Sentait mauvais la
Vache quelle puanteur -
Ca fait réfléchir y a pas
D’hésitation - demain si
Moi...sûr ça fait peur
On dit qu’il habitait
Dans le coin - un coup
Du sort la picole...les
Massifs y voient que du
Feu - un feu des ténèbres
Répète après moi :
Clandé claque bouge
Tapage taudis bastringue
Clandé claque...
C’est bien - sur la bonne
Voie et résonne des peurs
Comme un diapason
Les murs tremblent les
Organes souffrent les
Yeux se brûlent - et
Cherchent une étoffe
Parfumée - un peu de
Beauté et de douceur
Merde ! Des choses à
Faire de la nuit urbaine -
Fascinante de ses raclures
Comme des colères des
Absences du déchirement
C’est pas la pitié - encore
Heureux - l’a peut-être tué
Quelqu’un la puanteur
Qui peut savoir ? Peut-être
Qu’il a tué personne ou
Qu’on l’a tué - on a vu ça
C’est pas rare - les gens
Sont des enragés pour
Survivre sont prêts à tout
A tout - même à pousser
Un voisin un collègue
N’importe quoi n’importe
Qui pour échapper à l’
Infâme - ce doux milieu
Sans bruit - on est jamais
Le dernier à monter la
Garde - silence