mercredi 23 juillet 2008

Until Death


L’ode aux portraits

Rugueux - ça vaut le

Coup d’oeil devant

Ce bronze et les tortures

Vous êtes des monstres”

Statues vivantes et regards

Inquiets : impuissants

Hermétiques fatigués


Encore consigne jetée

A la rage - porte claquée

Violence à faire trembler

Merde on est baisés

Comme perdus dans un

Domaine étranger - on lui

Dit de s’arrêter - tout ça

Finira par vitesse et démenti


Pas touché ni détruit

Mais sur le chemin

Alors quoi vas-y suicide !

Ton p’tit cul encore désir

Ouais : mais pour combien ?

Première sortie après Algé-

Siras - Lyon et hôpital

Des armées en déroute


Des fois l’agression suffoque

Trop - trop marché trop

Arpenté pour rien : mégots

Partout sur le chemin qui

Mène au doute - ça

Bouscule les mots et la

Carte et les blocs alignés

Le calme était nulle part


Elle fournissait la paix

Pour quelques instants

Les cargos ce boulevard

Et les hôtels particuliers

Derrière de grands murs

Et les panneaux exotiques

Bois du monde et plaques

Investies - ça valait le coup


De la fatigue - bien qu’il fût

Trop tard et que les attaches

Fussent mortes - il aura baisé

Jusqu’au dernier - suicide ?

Voilà ce vieux fantôme

Voilà ce qu’il est : a death

Mask!