Rien n’étage
Mieux que
Ces lettres
Lancées
Dans l’espace
Et le temps
Imparti
D’une existence
Sûrement trop
Entourée
D’immeubles
Mais rien n’y
Fait
Il y a trop
À perdre à
Quitter
Le mouvement
Permanent
Ce qui change
Plus vite qu’un
Corps perdu
Dans ce dédale
Qui nous sert
D’appui
Peut-être
Que ça nous
Ressemble trop
Notre marche
Hétérogène
Nos sentiments
Diffus et ce regard
Trop lointain