Les traces
De ce malaise
Ce décalage
Que l’on supporte
Qui nous sert
De refuge aussi
Seul au milieu
De la foule
Et silencieux
Dans ce bruit
De fond urbain
Cet autre
Monde
Grouillant
Malade aussi
Fascinant
De tous
Les autres
Que l’on regarde
Au scanner souvent
Loin des néons
Douloureux
Même si l’on
Regarde souvent
Plus loin encore
Rarement dans
Les yeux ou dans
Les yeux précisément
Au fond c’est pareil
Puisqu’on regarde
Toujours ailleurs
Loin de l’intrusion
De ces lumières
Intimes qui font
Mal