De tout ce qui brûle
Rappelle le désastre
Vécu tant de fois
De ce lieu réversible
Alors que l’on est
Porté par une flèche
Ce temps que l’on
Ne remonte jamais
Sauf à croire
Que la conscience
Peut se mettre
En équations
Et que l’expérience
Vécue n’est que le vide
Et ces villes
Prémonitoires
Que l’on connaît déjà
Hors de ce temps
Qui nous porte
Ou nous trompe