Il y a de quoi
Dissoudre les mots
Les projeter
Dans un mouvement
Sur lui-même
Et faire de
L’infini terrifiant
Son territoire
Parfaite construction
Dans la blessure
Du vide
Qui ne cède rien
Aux apparences
De la vie
Jusqu’à l’écho
De ses pleins
Qui donnent vie
Aux façades inertes
Comme aux corps
Dans l’espace