Sous les visages
Guerre ou mémoire
Tout ce qui vacille
Et nous ramène
Au trouble
Comme on fait
Tomber les murs
Un lieu pour
Disparaître
Aux chaos
Là où l’on cesse
De se perdre
Comme verrouillé
Entre les hautes façades
Blanches et le ciel
Où le corps est imperceptible
La pensée qui ressemble
À l’oubli de soi
Alors que ta main
M’arrive de très loin