Au cœur de sa violence
Celle que l'on s'inflige
Blessures et chaos
Dans la solitude nue
Et la peur permanente
Que l'on découvre
Maintenant au cœur
De ses fatigues profondes
Regard sur la trame
Des jours et de leur
Organisation si précise
Une horloge que
L'on remonte en soi
Jusqu'aux racines
Du cœur
De sa minuterie
Infernale jusqu'à
Sa disparition
Dans ses rouages