Vainement ligne
Après ligne
Autant de
Possessions
Illusoires
À travers les
Saisons
Comme au milieu
De l’inguérissable
Ça coule comme
Des eaux précipitées
Jusqu’aux périphéries
Lisières inexplicables
Où les oiseaux
Ne murmurent plus
Alors que les façades
Luisent
Et que les rues
Cubistes s’enchaînent
Ce jour froid
À venir
Qui tarde
À se poser
Comme on recule
Devant les branches
Furieuses qui
S’annoncent
Et que l'on dit
À voix basse
Je t'aime
Pour tout
Paysage intérieur