Les yeux ouverts
Perdus dans le vide
Ce noir étrange
Où l’on cueille
Le vent s’infiltrant
Comme une ligne
De vie que l’on suit
Malgré tout
Son bruit apaisant
Qui semble se poser
Sur le visage
Ce froid étonnant
Au cœur de la chaleur
Que l’on accueille