Ce n’est jamais
Qu’une succession
De pensées
Ou le souffle
De quelque chose
Qui parle au malheur
Pour l’apprivoiser
Comme on longe
Un parc fermé
Son esprit demeure
Même si on ne le voit pas
Ce n’est jamais
Qu’une errance
Se mêlant à
Des larmes invisibles
Dans cet air transparent
D’un automne épidémique