C’est là que ça frémit
Comme l’odeur
Familière du vide
Cette arrivée
Dans une plaine
Ennemie
Loin des centres
Et des poussières
De travaux publics
Là où tout s’arrête
Et s’achève ainsi
Visages et corps
Immobilisés
Emportés ensuite
Abattus finalement
Par le récit mort
D’un lieu vidé
De sa substance