Qu’on le désire
Ou pas
Sans voir
Passer
Jusqu’à son
Propre corps
Vers la mort
Ou la nature complète
D’une durée à peine
Prévisible
Que l’on partage
De nuit comme de jour
Dans le silence
Ou la lumière
Le souffle éphémère
Qui nous anime
L’ivresse de sa présence
On se renouvelle
Du cœur jusqu’au nom
Avant d’observer
La source s’absenter