Tu reposes dans l’ardeur
Sans blesser ni redouter
Ni finir le monde
Seulement dans l’absence
Comme on entre dans l’exil
Tu reposes dans ce cœur
Comme dans une tombe
Qui n’a été qu’éphémère
Laissant la ville convulsive
Décider de la lutte
Cet éparpillement
Des vies
Crevant
De ferveurs embrasées