Les bords dangereux
Et leurs cris brisés
Ce que l’on tient
Et lâche en dénouant
Les mains
Des quartiers
Chassant l’autre
Traversés
Redoutés
Par avance
Comme un temps
Retourné
Ou plus rien
N’a sa place
Déplaçant
L’existence
De la terreur
À cette espèce
D’éternité
Dont on est privé