Pour ces quelques
Ouvertures
Autant de royaumes
Urbains arpentés
Puis retrouvés
Expirant
Presque en
Murmures
Pour ça des corps
Furent transpercés
Juste pour respirer
Ces murs-là
Ne seront jamais
Les mêmes
Sans que l’on sache
Vers quoi
Sans que l’on sache
Pour quel espace
Juste le silence
Des vies envolées
Dans le vent
Le souffle pourtant
De nos gestes futurs