Ce que tu penses
Ca ressemble
Aux déchirures
A des métamorphoses
Qui passent comme
Des nuages
Autant de tombeaux
Que tu vois au-dessus
De toi à la vitesse
D’une révolution
Numérique
Son odeur de morts
Même pas regrettés
Ce temps là
Est compté
Rien d’autres
Que des pensées
Échouées