Ce portrait
Tu vois
Dans ses moindres
Rives
Emporte
Les rêves
Il s’invente
Seulement
Un sursaut
Portant
Les vrais liens
À rompre
Tous ces cœurs
Rendus
Tous ces yeux
Fermés
Toutes ces peurs
Terribles
Autant de
Royaumes amers
Tu sais bien pourtant
Ce que tu traînes
Inlassablement
Cette armure
Qui te tue
Ces tornades
Intérieures
Ces jours
Qui s’éteignent
Dans un toujours
Se refusant
Au sol profond