De nuit
Ce sont
Les feux
Précieux
De la colère
Que l’on entasse
Ces réserves
De blessures
Jusqu’à la
Morsure
Que l’on
Disperse
Pour n’en garder
Qu’une lenteur
À pouvoir dire
Autre chose
Qu’un vide
Soudain
Qui ne trompe
Pas les pensées
Mortifères que
Que l’on chasse