À peine l’image
De la mort
Tissant la ville
Déchirée qui
Se déchaîne
À peine l’image
De la mort
Jusqu’aux arbres
Que l’on élague
Ce langage qui
Se noue au milieu
Du chaos
Le miroir
De ces temps
Qui dénudent
À peine l’image
De ce que l’on voit
Dans le bruit