mardi 6 octobre 2020

Lignes (2)


 











Je pense aux remèdes

A ces feux intérieurs

 

Là où toutes les pudeurs

S’éteignent

 

C’est la nuit écrite

 

Les entrailles

Vraiment de

L’obscurité

Que l’on

Regarde

 

Le corps torride

 

Et le sang que

L’on encre

D’une âme

 

Même pas

Implorante