Puisqu’on allume
Les derniers feux
Ceux qui foncent
Jusqu’à Dieu
Pour mieux
Le dévisager
Lui et son angoisse
Perpétuelle
Que l’on pare
D’un nœud coulant
Pour s’en débarrasser
Redevenir
Impeccablement
Doux
Au plus près
De cet avenir
Mais sans
La violence
Intérieure