Parmi les parfums
De ta peau
Là où s’écoule
Le silence
Le seul sacre
Que j’ai choisi
Ce corps de nacre
Ce regard noyé
Dans le bleu
Le seul sépulcre
Abritant ta nudité
Cette croyance sombre
Avare de ses joies
Et mes yeux menacés
Ici de se taire