Ce tyran du monde
Que l’on retrouve
Ce bruit qui court
Le signe évident
D’un spectacle
Dont l’offense
Est le moteur
C’est la mort
Que l’on apprivoise
Que l’on respire
Convulsivement
On y voit seulement
L’œuvre d’art
La profondeur
Compliquée
D’une ville
Dans laquelle
On marche
Et surtout
L’heure capable
De compromettre
L’inévitable