C’est là
Qu’il faut aller
Où les heures
Profondes
Ressemblent
A la femme aimée
Ce grand fleuve
A l’air sombre
Peinture idéale
Sous le vernis
De la ville
La vie elle-même
Qu’il rejoint
Comme la grâce
Accordée
Jusqu’à la rupture
Le souvenir alors
Des façades
Assoupies
De la couleur
Indécise
D’un crépuscule
Aux portes
Du printemps